Dans un monde où beaucoup croient au hasard et aux coïncidences, Marion Du B’ nous propose une vision plus intentionnelle de la vie. Pour elle, il n’y a pas de place pour le hasard. Chaque événement, qu’il soit joyeux ou douloureux, est une opportunité.
Le véritable pouvoir de l’individu ne réside pas dans le fait de contrôler les circonstances, mais dans la façon dont il choisit d’y répondre. Ce chapitre explore cette philosophie où le libre arbitre devient un moteur de transformation, un choix conscient de se saisir des opportunités pour grandir et évoluer.
Le mythe du hasard
Marion Du B’ est catégorique : le hasard n’existe pas. Elle explique que les coïncidences ne sont que des opportunités qui se présentent à nous.
C’est à nous de choisir si nous allons nous en saisir ou non. Cette perspective remet en question la notion de destin préétabli et nous donne l’entière responsabilité de notre parcours.
« Les hasards, il y en a pas. »
Selon elle, les événements ne nous tombent pas dessus sans raison. Il y a des liens invisibles et des synchronicités qui nous guident.
Cette conviction l’a amenée à faire le constat que « tout est parfait », même si elle reconnaît que ce terme peut paraître « violent dans certains contextes ».
Chaque personne qui entre dans notre vie, pour une heure ou pour des années, a quelque chose à nous apprendre, qu’elle soit « sympa ou pas sympa ».
Le libre arbitre : notre pouvoir d’action
Le libre arbitre, dans l’approche de Marion Du B’, ne consiste pas à choisir ce qui va nous arriver, mais à choisir comment nous allons réagir. Les événements, on ne les choisit pas. Notre choix réside dans ce que l’on va en faire, dans la manière dont on va tirer un enseignement de chaque situation.
« Le plus important c’est qu’est-ce qu’on en fait? Il est là notre libre arbitre. Est-ce qu’on s’en saisit de l’opportunité ou pas ? »
Cette vision nous invite à ne pas être des victimes passives des événements, mais des acteurs conscients de notre propre vie. C’est une invitation à chercher « le cadeau dans toute cette merde », comme le lui a enseigné l’expérience du deuil de sa mère.
C’est un processus de responsabilisation où notre pouvoir se trouve dans la façon dont nous choisissons d’interpréter et d’utiliser chaque événement pour notre croissance personnelle.
Leçon de vie : le passé au service du présent
Le parcours de Marion est une illustration parfaite de cette philosophie. Elle a vécu des « chutes », des « erreurs » et des « drames », mais elle ne regrette rien. Pour elle, tout ce qu’elle a vécu a servi à la placer là où elle est aujourd’hui, à la rendre la personne qu’elle est. Elle ne souhaiterait rien changer de son passé.
« Je crois que toutes les chutes toutes les erreurs tout tous les drames que j’ai vécu dans ma vie et au service de là où je suis aujourd’hui dans ma place. »
Elle refuse de se projeter dans un « retour vers le futur » pour changer quoi que ce soit. Cette acceptation de son passé est la clé de sa force et de son authenticité.
Elle nous enseigne que même nos blessures et nos erreurs les plus profondes ont un sens, et qu’en les acceptant, nous nous donnons la possibilité de les transformer en forces.
Accepter notre passé
La philosophie de Marion Du B’ nous invite à reconsidérer notre rapport aux événements de la vie. En nous libérant du mythe du hasard, elle nous rend notre pouvoir d’action et notre libre arbitre.
La vie n’est pas une succession d’événements aléatoires, mais une série d’opportunités que nous pouvons choisir de saisir.
C’est en acceptant notre passé, avec ses épreuves et ses drames, que nous pouvons pleinement embrasser notre présent et construire un avenir en accord avec notre être le plus profond.
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