Dans notre quête incessante de succès et d’épanouissement, nous cherchons souvent les solutions à l’extérieur : un meilleur emploi, une relation parfaite, plus de richesses. Pourtant, la véritable clé de notre bien-être général réside dans une valeur fondamentale, trop souvent oubliée : la liberté.
1. Le piège d’une vie « Modèle » et le conditionnement initial
Il est essentiel de réaliser que, dès notre arrivée dans ce monde, nous sommes conditionnés. Notre environnement initial ; le pays, la famille, l’école ; nous transmet une vision du monde et des croyances, qu’elles soient aidantes ou limitantes. Ce conditionnement nous dicte un chemin : « Tu dois suivre cette voie pour ta sécurité financière », « Le monde est dangereux et compétitif, développe ton égo. » On nous pousse vers la compétition, nous éloignant souvent de notre bien-être affectif en nous enfermant dans des schémas rigides.
Les stéréotypes de la société actuelle
Beaucoup d’entre nous suivent ce chemin tracé : atteindre les plus hauts postes, obtenir de bons salaires, se marier, avoir des enfants. C’est le chemin que l’on nous présente comme la recette du bonheur et du bien-être professionnel. Pourtant, malgré l’obtention de ces emplois à grande responsabilité (direction de magazines, production, journalisme sur de grandes chaînes), il arrive un moment où une question essentielle émerge en pleine réussite matérielle : « Comment se fait-il que j’aie fait tout ce que les gens disent qu’il faut faire pour être heureux dans sa vie, et que je ne le sois pas ? »
2. Le déclic : la déconstruction au nom de la bienveillance
Pour certains, cette prise de conscience passe par des événements graves. Mais il arrive que le déclic soit soudain, provoquant une introspection radicale : « Qui suis-je vraiment à l’intérieur ? Qu’est-ce que je veux vraiment dans la vie ? »
Le changement de direction
Ce moment marque l’arrêt net des schémas conditionnés. La décision est de quitter ces travails alléchants pour se réaligner sur des valeurs profondes de bienveillance et de partage. La conviction est que nous sommes ici pour aider le monde à avancer, chacun à son niveau.
La société a souvent tendance à nous enfermer dans des cases et à nous juger si nous exerçons plusieurs activités différentes. La liberté est la clé pour ouvrir cette cage. Elle permet de se lancer dans une phase de réapprentissage (« vivre sa vie à l’envers »), en explorant différentes compétences. L’échange, notamment à travers les interviews, devient un puissant vecteur de bien-être social et d’avancement, car il permet de récupérer un petit bout de la vision du monde de l’autre pour mieux avancer sur son propre chemin. En se libérant des étiquettes, on nourrit son bien-être intellectuel.
3. L’ouverture à l’invisible et la peur du jugement
C’est à cette période de déconstruction et période de liberté retrouvée que des phénomènes inattendus peuvent survenir : voir des lumières autour des gens ou des informations sur leur front. Initialement, l’esprit cartésien essaie de rationaliser ces visions en les attribuant à l’imagination ou à la créativité.
Cependant, lorsque les prédictions faites aux gens se réalisent, il devient évident qu’il faut creuser cette réalité. C’est à ce moment que la liberté, mêlée à la conscience que l’on ne peut se limiter à la vision du monde donnée comme un mode d’emploi, provoque une explosion de vie. La décision est prise de revenir à l’essence du journalisme et de l’animation : parler avec les gens.
L’ouverture spirituelle
Elle n’a pas été cherchée, elle est « tombée dessus ». Pour celui qui est très cartésien, l’accepter est difficile. Il faut alors enquêter (le côté journaliste) : poser des questions, rencontrer des guérisseurs et des personnes de tous horizons pour comprendre ce qui arrive.
Après avoir « désherbé le terrain », l’idée d’écrire un livre émerge pour aider les personnes qui se réveillent à ces phénomènes et qui ne savent pas quoi en faire. L’acte d’écrire et de publier, bien que motivé par l’aide, peut générer une peur intense du jugement des autres face au partage de choses très personnelles liées à cette nouvelle liberté et à la spiritualité. C’est un pas courageux vers l’authenticité qui, malgré la peur, est le chemin unique vers un bien-être profond.
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