Le parcours de Marion Du B’ en tant qu’écrivaine est un témoignage puissant de la résilience face à l’échec et de la capacité à créer sa propre opportunité. Alors que de nombreux auteurs rêvent d’être publiés par une grande maison d’édition, Marion a transformé les refus qu’elle a essuyés en un acte de création entrepreneurial.
Ce chapitre explore cette période charnière de sa vie, où la déception est devenue un catalyseur, la poussant à fonder sa propre maison d’édition pour donner une voix non seulement à ses propres mots, mais aussi à ceux des autres.
Le refus comme catalyseur
Marion Du B’ a connu la déception commune à de nombreux écrivains : le rejet. Après avoir envoyé son manuscrit à de nombreuses maisons d’édition, elle a été confrontée à près d’une cinquantaine de refus.
Loin de la décourager, ces « non » ont été un puissant catalyseur. Au lieu d’abandonner son rêve, elle a choisi d’y voir un signal pour prendre une voie différente, un chemin qu’elle n’aurait pas emprunté autrement.
« Je suis passée de 50 refus à… Bah en fait, je vais créer ma maison d’édition. »
Ce moment de sa vie est un exemple concret de son concept de libre arbitre : les événements ne sont pas toujours ce que nous souhaitons, mais nous avons le pouvoir de choisir comment nous y réagissons.
Plutôt que de se sentir victime du système, elle a décidé de créer le sien, transformant une frustration en un acte de pouvoir.
Une maison d’édition pour soi et pour les autres
La création de sa maison d’édition n’était pas un simple acte de rébellion ou de fierté. Elle est née d’un désir profond de contrôler son message et de s’assurer que ses mots seraient diffusés.
Mais très vite, cette démarche a pris une dimension plus large. En créant sa propre structure, elle s’est donné la possibilité d’aider d’autres auteurs qui, comme elle, avaient une histoire à raconter.
Elle a ressenti un « détachement » de son livre, une fois qu’il était terminé, et c’est ce détachement qui lui a donné l’énergie pour se tourner vers d’autres auteurs. Elle savait qu’il y avait d’autres personnes avec des récits importants qui méritaient d’être entendus.
La maison d’édition est devenue une plateforme pour donner une voix à ceux qui, comme elle, avaient connu des moments difficiles et qui avaient un message de résilience à partager.
L’intuition au service de la création
Le choix de créer sa propre voie était également guidé par son intuition. L’hypersensibilité de Marion lui a toujours servi de boussole intérieure, et cette fois n’a pas fait exception.
Son intuition lui a dit que c’était la bonne direction, que c’était le chemin qui lui était destiné. Elle a fait confiance à ce sentiment, même si cela impliquait de prendre des risques et de naviguer dans l’inconnu.
Cette décision audacieuse est la preuve que l’intuition, lorsqu’elle est écoutée, peut mener à des résultats extraordinaires.
Au lieu de suivre les sentiers battus, elle a écouté sa voix intérieure, ce qui l’a menée non seulement à publier son livre, mais aussi à devenir une entrepreneuse et une éditrice pour d’autres.
Une leçon inspirante
Le parcours de Marion Du B’ est une leçon inspirante sur la manière de transformer les obstacles en tremplins. En créant sa propre maison d’édition, elle a démontré que le refus n’est pas une fin en soi, mais peut être un point de départ pour l’innovation et l’autonomisation.
Sa démarche est un rappel que si les portes se ferment, il est parfois nécessaire de construire ses propres portes, non seulement pour soi, mais aussi pour ouvrir de nouvelles voies à ceux qui partagent la même passion.
Son histoire est une ode à la créativité, à la résilience et à la force de l’action face à l’adversité.
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